De nouvelles analyses confirment les avantages à long terme de la quadrithérapie DARZALEX® (daratumumab) par voie sous-cutanée chez les patients atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué
Les taux de négativité soutenue de la MRM (10-5) à 24 mois ou plus ont plus que doublé chez les patients éligibles à une greffe traités par daratumumab-VRd par rapport au VRd seul dans l’étude de Phase 3 PERSEUS1
Les données de l’étude de Phase 3 CEPHEUS montrent que le daratumumab-VRd réduit significativement le risque de progression ou de décès de 49 pour cent par rapport au VRd seul chez les patients nouvellement diagnostiqués et non éligibles à une greffe2
BEERSE, BELGIQUE, 09 juin 2025 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société de Johnson & Johnson, a annoncé aujourd’hui les résultats de deux études mettant en évidence que la formulation de DARZALEX® (daratumumab) par voie sous-cutanée (SC) associée au bortézomib, au lénalidomide et à la dexaméthasone (daratumumab-VRd) a démontré des taux de négativité de la maladie résiduelle minimale (MRM) importants et soutenus, et a amélioré la survie sans progression à long terme (SSP) chez les patients atteints de myélome multiple nouvellement diagnostiqué (MMND), quel que soit le statut de la greffe. 1,2 Les résultats ont fait l’objet de présentations orales d’une analyse de la MRM soutenue chez les patients éligibles à une greffe de participant à l’étude de Phase 3 PERSEUS (résumé #7501) et d’une analyse d’un sous-groupe de patients non éligibles à une greffe de participant à l’étude de Phase 3 CEPHEUS (résumé #7516) lors du Congrès annuel 2025 de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO).1,2
“La quadrithérapie à base de daratumumab révolutionne le traitement de première intention du myélome multiple en apportant dès le départ des réponses plus fortes et plus durables, afin que les patients aient plus de chances d’atteindre une rémission à long terme,” a déclaré Ester in’t Groen, responsable du domaine thérapeutique hématologie pour la région EMEA chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. “Les dernières données présentées à l’ASCO confirment le rôle des schémas thérapeutiques des études PERSEUS et CEPHEUS en tant que traitement de référence chez les patients dont la maladie a été récemment diagnostiquée, indépendamment de leur éligibilité à une greffe.”
Une nouvelle analyse de l’étude de Phase 3 PERSEUS montre que l’ajout du daratumumab-VRd suivi d’un traitement d’entretien par daratumumab par voie SC en association avec le lénalidomide (daratumumab-R) a permis d’améliorer et de renforcer les taux de négativité globale et soutenue de la MRM (10-5) par rapport au traitement d’induction par VRd et à la consolidation avec le traitement d’entretien par R.1 Au terme d’un suivi médian de 47.5 mois, les taux de négativité soutenue de la MRM (10-5) ont plus que doublé avec le traitement par daratumumab-VRd suivi d’un traitement d’entretien par daratumumab-R par rapport au traitement par VRd et du traitement d’entretien par R à la fois à 12 mois et au-delà (64.8 pour cent contre 29. 7 pour cent; rapport des cotes, 4,42; intervalle de confiance [IC] de 95 pour cent, 3.22-6.08; p<0.0001) et 24 mois ou au-delà (55.8 pour cent contre 22.6 pour cent; rapport des cotes [RC], 4.36, IC de 95 pour cent, 3.15-6.05, p<0.0001).1
Parmi les patients ayant présenté une négativité soutenue de la MRM pendant 12 mois ou plus, le taux de SSP à 48 mois pour le daratumumab-VRd suivi d’un traitement d’entretien par daratumumab-R était de 95.3 pour cent par rapport à 94.2 pour cent pour le traitement VRd et le traitement d’entretien par R (rapport de risque [RR], 0.83 ; IC à 95 pour cent, 0.3-2.3) — ce qui confirme l’importance d’une négativité soutenue de la MRM pour une rémission prolongée de la maladie.1
“Les données montrent que le traitement par daratumumab-VRd suivi d’un traitement d’entretien par daratumumab-R est une option thérapeutique très efficace pour les patients éligibles à une greffe et atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué,” a déclaré Philippe Moreau, docteur en médecine, chef du service d’hématologie du CHU Hôtel-Dieu de Nantes et auteur de l’étude présentée.* “Le degré et la durabilité de la négativité de la MRM observés, associés à des taux élevés de survie sans progression à quatre ans, soulignent les avantages à long terme que le traitement à base de daratumumab par voie SC peut offrir aux patients dès le début de leur parcours thérapeutique.”
Les données complémentaires de l’étude de Phase 3 CEPHEUS démontrent les avantages du daratumumab par voie SC chez les patients non éligibles à une greffe, quel que soit leur situation quant aux risques cytogénétiques
L’analyse post-hoc de l’étude de Phase 3 CEPHEUS a porté exclusivement sur les patients non éligibles à une greffe, ce qui confirme que l’ajout du daratumumab par voie SC au traitement par VRd renforce significativement la réponse et prolonge la SSP par rapport au traitement par VRd uniquement chez cette population de patients.2
Au terme d’un suivi médian de 58.7 mois, les patients traités par daratumumab-VRd ont présenté des taux de négativité de la MRM au seuil de sensibilité de 10-⁵ nettement plus élevés, soit 60.4 pour cent contre 39.3 pour cent avec le traitement par VRd (RC, 2.37; 95 pour cent IC, 1.47-3.80; p=0.0004).2 De plus, le traitement par daratumumab-VRd a entraîné des taux élevés de négativité de la MRM au seuil de 10-⁶, soit 45.8 pour cent contre 26.9 pour cent avec le traitement par VRd (RC, 2.28; IC à 95 pour cent, 1.40-3.73; p=0.0010).2 Ces réponses plus marquées se sont traduites par une amélioration des résultats à long terme, 69 pour cent des patients n’ayant connu aucune progression à 54 mois lorsqu’ils étaient traités par daratumumab-VRd contre 48 pour cent avec le traitement par VRd (RR, 0.51; IC à 95 pour cent, 0.35-0.74; p=0.0003).2 Les chiffres de la survie globale (SG) sont en faveur du traitement par daratumumab-VRd (RR, 0.66; 95 pour cent IC, 0.42-1.03, p=0.0682), avec un bénéfice encore plus important observé après censure des décès liés à COVID-19 (RR, 0.55; 95 pour cent IC, 0.34-0.90, p=0.0159).2
Des données supplémentaires présentées à l’ASCO comprenaient une analyse de sous-groupe de l’essai CEPHEUS pour les patients atteints de MMND non éligibles à une greffe et pour ceux dont la greffe a été différée et qui étaient considérés comme présentant un risque élevé d’anomalies cytogénétiques (Résumé #7529).3 Au terme d’un suivi médian de 58.7 mois, le taux global de négativité de la MRM s’est amélioré chez les patients présentant un risque normal dans le groupe traité par daratumumab-VRd par rapport au groupe traité par VRd.3 Bien que les taux de négativité de la MRM selon le bras de traitement chez les patients présentant un risque élevé défini par le protocole aient été comparables, la SSP a eu tendance à s’améliorer dans le groupe traité par daratumumab-VRd.3
“Dans plusieurs études, les données de plus en plus nombreuses sur les traitements à base de daratumumab indiquent des réponses impressionnantes et significatives, ainsi qu’une survie sans progression importante chez les patients atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué, y compris à haut risque,” a déclaré Jordan Schecter, docteur en médecine, vice-président, responsable du domaine des maladies, myélome multiple chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. “Ces résultats constants dans toutes les populations de patients, indépendamment de l’éligibilité à une greffe, confirment le rôle du daratumumab par voie SC en tant que traitement à privilégier pour le traitement de première intention.”
Lors des études PERSEUS et CEPHEUS, les profils d’innocuité ont été cohérents avec le profil d’innocuité connu du daratumumab par voie SC.1,2,3 Les résultats sur l’innocuité du daratumumab-VRd dans l’étude PERSEUS ont été précédemment rapportés dans The New England Journal of Medicine.4 Les effets indésirables hématologiques les plus fréquents (≥20 pour cent) chez les patients atteints de myélome multiple ayant reçu le daratumumab-VRd par rapport au VRd comprenaient la neutropénie (69.2 pour cent contre 58.8 pour cent), la thrombocytopénie (48.4 pour cent contre 34.3 pour cent) et l’anémie (22.2 pour cent contre 20.7 pour cent).4 De même, dans l’étude CEPHEUS, le daratumumab-VRd n’a pas montré de problèmes d’innocuité supplémentaires dans le sous-groupe non éligible à une greffe par rapport à la population en intention de traiter.2 Les effets indésirables hématologiques apparus pendant le traitement de grade 3/4 les plus fréquents étaient la neutropénie (43.8 pour cent contre 31.7 pour cent), la thrombocytopénie (30.6 pour cent contre 23.2 pour cent) et l’anémie (12.5 pour cent contre 12.7 pour cent)2.
À propos des études PERSEUS et CEPHEUS
L’étude PERSEUS (NCT03710603) est menée en collaboration avec l’European Myeloma Network, qui en est le promoteur.5 L’étude PERSEUS est une étude en cours, randomisée et ouverte et de Phase 3 comparant l’efficacité et l’innocuité du daratumumab, du bortézomib, du lénalidomide et de la dexaméthasone (daratumumab-VRd) et de la greffe autologue de cellules souches (GACS) suivie d’un traitement d’entretien par l’association D-R par rapport au traitement standard par bortézomib, lénalidomide et dexaméthasone (VRd), et d’une GACS suivie d’un traitement d’entretien par R chez des patients atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué (MMND) et éligibles à une greffe (n=355). 4 Le critère d’évaluation principal est la survie sans progression (SSP), et les critères d’évaluation secondaires comprennent le taux global de réponse complète ou supérieure, la négativité globale de la maladie résiduelle minimale (MRM) (chez les patients ayant présenté une réponse complète ou supérieure) et la survie globale (SG).4 La formulation de daratumumab par voie sous-cutanée (SC) a été interrompue après au moins 24 mois de traitement d’entretien par association D-R chez les patients qui avaient présenté une réponse complète ou supérieure et un taux de MRM négatif soutenu pendant au moins 12 mois.4 L’âge médian est de 61.0 ans (intervalle compris entre 32 et 70 ans) pour les patients du bras daratumumab-VRd et de 590 ans (intervalle compris entre 31 et 70 ans) pour les patients du bras VRd.4 L’étude est menée dans 13 pays d’Europe et d’Australie.5 Le 23 octobre 2024, une extension d’indication pour le daratumumab-VRd a été approuvée par la Commission européenne pour le traitement du MMND éligibles à une GACS, sur la base des résultats de l’étude PERSEUS.6,7
L’étude CEPHEUS (NCT03652064) est une étude en cours randomisée ouverte de Phase 3 comparant le daratumumab-VRd par voie SC par rapport au traitement VRd standard.8,9 L’étude a inclus 395 patients atteints d’un MMND non éligibles à une greffe de cellules souches (GCS) ou pour qui une GCS n’était pas prévue.9 Le critère d’évaluation principal était le taux global de MRM négative.9 L’âge minimum de participation était de 18 ans pour les patients des bras daratumumab-VRd et VRd, avec un âge médian des patients de 70 ans (intervalle compris entre 31 et 80 ans).8 L’étude a été menée dans 13 pays en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Europe.9 Le 7 avril 2025, une extension d’indication du daratumumab-VRd a été approuvée par la Commission européenne pour le traitement du MMND, sur la base des résultats de l’étude CEPHEUS.9,10
À propos du daratumumab et du daratumumab par voie SC
Johnson & Johnson s’est engagée à explorer le potentiel du daratumumab pour les patients atteints d’un myélome multiple dans tous les aspects de la maladie.
En août 2012, Janssen Biotech, Inc., une société Johnson & Johnson, et Genmab A/S ont conclu un accord mondial accordant à Johnson & Johnson une licence exclusive pour développer, fabriquer et commercialiser le daratumumab. Depuis son lancement, le daratumumab est devenu une thérapie fondamentale dans le traitement du myélome multiple et a été utilisé dans le traitement de plus de 618,000 patients dans le monde entier.11 Le daratumumab est le seul anticorps dirigé contre le CD38 dont l’administration par voie sous-cutanée est autorisée pour traiter les patients atteints de myélome multiple.12 Le daratumumab par voie SC est coformulé avec de l’hyaluronidase humaine recombinante PH20 (rHuPH20), la technologie d’administration de médicaments ENHANZE® de Halozyme.12
CD38 est une protéine de surface présente en grand nombre sur les cellules du myélome multiple, quel que soit le stade de la maladie.12 Le daratumumab se lie à CD38 et inhibe la croissance des cellules tumorales, entraînant la mort des cellules du myélome.12 Le daratumumab peut également avoir un effet sur les cellules normales.12 Les données issues de dix essais cliniques de Phase 3, tant en première ligne qu’en rechute, ont révélé que les schémas thérapeutiques à base de daratumumab entraînaient une amélioration significative de la survie sans progression et/ou de la survie globale.8,13,14,15,16,17,18,19,20
Pour en savoir plus sur le daratumumab, veuillez consulter le Résumé des caractéristiques du produit à l’adresse suivante : https://ec.europa.eu/health/documents/community-register/html/h1101.htm.
À propos du myélome multiple
Le myélome multiple est un cancer du sang actuellement incurable qui touche un type de globules blancs appelés plasmocytes, que l’on trouve dans la moelle osseuse.21,22 Dans le cas du myélome multiple, ces plasmocytes cancéreux continuent de proliférer, s’accumulent dans l’organisme et supplantent les cellules sanguines normales, tout en provoquant souvent une destruction osseuse et d’autres complications graves.22 Dans l’Union européenne, plus de 35,000 personnes ont reçu un diagnostic de myélome multiple en 2022, et plus de 22,700 patients en sont décédés23 Les patients atteints de myélome multiple expérimentent des rechutes de plus en plus fréquentes avec chaque ligne de traitement,24,25 alors que les rémissions deviennent progressivement plus courtes.24,25,26 Si certains patients atteints d’un myélome multiple ne présentent initialement aucun symptôme, d’autres peuvent présenter des signes et symptômes fréquents de la maladie, pouvant inclure des fractures ou douleurs osseuses, un faible taux de globules rouges, de la fatigue, des taux de calcium élevés ou une atteinte rénale.27
À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Notre force d’innovation en matière de soins de santé nous permet de construire un monde où les maladies complexes sont prévenues, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise dans le domaine de la médecine innovante et des technologies médicales, nous sommes les plus à même d’apporter des innovations à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui pour faire advenir les avancées de demain et avoir un impact majeur sur la santé de l’humanité.
Pour en savoir plus, consultez le site : www.innovativemedicine.jnj.com/emea. Suivez-nous sur www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea. Janssen-Cilag International NV, Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag Limited, Janssen Biotech, Inc. et Janssen Research & Development, LLC sont des sociétés de Johnson & Johnson.
Mises en garde relatives aux déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des “déclarations prospectives “ au sens de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995 et relatives au développement du produit, aux bénéfices potentiels et à l’impact thérapeutique du daratumumab. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus venaient à se présenter, les conséquences réelles pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter, les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, la concurrence, y compris les progrès technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents, les contestations de brevets, les changements dans le comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé, les évolutions juridiques et réglementaires applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Vous trouverez une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs dans le tout dernier rapport annuel de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-K, notamment dans les sections intitulées “Mise en garde concernant les énoncés prospectifs” et “Rubrique 1A. Facteurs de risque,” ainsi que dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-Q et les autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne aux adresses suivantes : http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Johnson & Johnson ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de la publication de nouvelles informations ou de futurs événements ou développements.
*Philippe Moreau, docteur en médecine, chef du service d’hématologie du centre hospitalier universitaire Hôtel-Dieu de Nantes (France), a fourni des services de consultation, de conseil et de conférence à Janssen-Cilag International NV ; il n’a pas été rémunéré pour un quelconque travail auprès des médias.
1 Moreau P, et al. Subcutaneous daratumumab (Dara) + bortezomib/lenalidomide/dexamethasone (VRd) with Dara + lenalidomide (DR) maintenance in transplant-eligible (TE) patients with newly diagnosed multiple myeloma (NDMM): analysis of sustained minimal residual disease negativity in the phase 3 PERSEUS trial. Présentation orale. Congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) ; 30 mai – 3 juin 2025.
2 Facon T, et al. Daratumumab plus bortezomib, lenalidomide, and dexamethasone (DVRd) in patients with newly diagnosed multiple myeloma (NDMM): Subgroup analysis of transplant-ineligible (TIE) patients in the phase 3 CEPHEUS study. Présentation orale. Congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) ; 30 mai – 3 juin 2025.
3 Bahlis N.J, Daratumumab + bortezomib, lenalidomide, and dexamethasone (DVRd) vs VRd in transplant-ineligible (TIE)/transplant-deferred (TD) newly diagnosed multiple myeloma (NDMM): phase 3 CEPHEUS trial cytogenetic subgroup analysis. Présentation sur affiche. Congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) ; 30 mai – 3 juin 2025.
4 Sonneveld P, et al. Daratumumab, Bortezomib, Lenalidomide, and Dexamethasone for Multiple Myeloma. N Engl J Med 2024; 390:301-313.
5 ClinicalTrials.gov. Daratumumab, VELCADE (bortezomib), lenalidomide and dexamethasone compared to VELCADE, lenalidomide and dexamethasone in subjects with previously untreated multiple myeloma (Perseus). NCT03710603. Disponible à l’adresse : https://www.clinicaltrials.gov/study/NCT03710603. Dernière consultation : mai 2025.
6 Rodríguez-Otero P, et al. Daratumumab (DARA) + bortezomib/lenalidomide/dexamethasone (VRd) in transplant-eligible (TE) patients (pts) with newly diagnosed multiple myeloma (NDMM): analysis of minimal residual disease (MRD) in the PERSEUS trial. Congrès annuel 2024 de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO). 3 juin 2024.
7 Johnson & Johnson Innovative Medicine EMEA. La quadrithérapie à base de DARZALEX® (daratumumab) par voie SC est approuvée par la Commission européenne pour les patients atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué et éligibles à une greffe. Disponible à l’adresse suivante : https://www.jnj.com/media-center/press-releases/darzalex-daratumumab-sc-based-quadruplet-regimen-approved-by-the-european-commission-for-patients-with-newly-diagnosed-multiple-myeloma-who-are-transplant-eligible. Dernière consultation : Mai 2025.
8 Usmani S Z, et al. Daratumumab + Bortezomib/Lenalidomide/Dexamethasone in Patients With Transplant-ineligible or Transplant-deferred Newly Diagnosed Multiple Myeloma: Results of the Phase 3 CEPHEUS Study. Présentation orale. 21e congrès annuel de l’International Myeloma Society (IMS). 25 – 28 septembre 2024.
9 Clinicaltrials.gov. A Study Comparing Daratumumab, VELCADE (Bortezomib), Lenalidomide, and Dexamethasone (D-VRd) With VELCADE, Lenalidomide, and Dexamethasone (VRd) in Participants With Untreated Multiple Myeloma and for Whom Hematopoietic Stem Cell Transplant is Not Planned as Initial Therapy. NCT03652064. Disponible à l’adresse suivante : https://clinicaltrials.gov/study/NCT03652064?term=NCT03652064&cond=Multiple%20Myeloma&rank=1&a=63. Dernière consultation : Mai 2025.
10 La Commission européenne approuve la quadrithérapie à base de DARZALEX® (daratumumab) par voie sous-cutanée de Johnson & Johnson chez les patients atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué, quelle que soit leur éligibilité à la greffe. Disponible à l’adresse : https://www.jnj.com/media-center/press-releases/european-commission-approves-johnson-johnsons-subcutaneous-darzalex-daratumumab-based-quadruplet-regimen-for-the-treatment-of-patients-with-newly-diagnosed-multiple-myeloma-regardless-of-transplant-eligibility. Dernière consultation : Mai 2025.
11 Johnson & Johnson [données sur fichier]. RF-430506. Nombre de patients traités par DARZALEX® dans le monde entier au 30 juin 2024.
12 Janssen EMEA. La Commission européenne accorde une autorisation de mise sur le marché de la formulation sous-cutanée DARZALEX® (daratumumab) pour toutes les formulations de daratumumab par voie intraveineuse actuellement autorisées. Disponible à l’adresse : http://www.businesswire.com/news/home/20200604005487/en/European-Commission-GrantsMarketingAuthorisation-for-DARZALEX%C2%AE%E2%96%BC-daratumumab-SubcutaneousFormulation-for-all-CurrentlyApproved-Daratumumab-Intravenous-Formulation-Indications. Dernière consultation : Mai 2025.
13 Moreau P, et al. Bortezomib, thalidomide, and dexamethasone with or without daratumumab before and after autologous stem-cell transplantation for newly diagnosed multiple myeloma (CASSIOPEIA): a randomised, openlabel, phase 3 study. Lancet 2019;394(10192):29-38.
14 Facon T, et al. MAIA Trial Investigators. Daratumumab plus Lenalidomide and Dexamethasone for Untreated Myeloma. N Engl J Med 2019;380(22):2104-2115.
15 Mateos MV, et al. Overall survival with daratumumab, bortezomib, melphalan, and prednisone in newly diagnosed multiple myeloma (ALCYONE): a randomised, open-label, phase 3 trial. The Lancet 2020;395:P132-141.
16 Dimopoulos MA, et al. APOLLO Trial Investigators. Daratumumab plus pomalidomide and dexamethasone versus pomalidomide and dexamethasone alone in previously treated multiple myeloma (APOLLO): an open-label, randomised, phase 3 trial. Lancet Oncol 2021;22(6):801-812.
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19 Bahlis NJ, et al. Daratumumab plus lenalidomide and dexamethasone in relapsed/refractory multiple myeloma: extended follow-up of POLLUX, a randomized, open-label, phase 3 study. Leukemia 2020;34(7):1875-1884.
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CP-520659
Mai 2025
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