L’association RYBREVANT®▼ (amivantamab) plus LAZCLUZE®▼ (lazertinib) démontre un bénéfice significatif en termes de survie globale chez les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avancé muté par l’EGFR par rapport à l’osimertinib
La survie globale médiane n’a pas encore été atteinte avec une amélioration prévue de plus d’un an par rapport à l’osimertinib*1
BEERSE, BELGIQUE, 28 mars 2025 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société de Johnson & Johnson, a annoncé ce jour les résultats de l’étude de Phase 3 MARIPOSA relatifs au critère d’évaluation de référence dans le traitement du cancer, à savoir la survie globale (SG). Les données de comparaison directe avec l’osimertinib ont révélé que l’association RYBREVANT®▼(amivantamab) plus LAZCLUZE®▼(lazertinib) prolongeait de manière significative la survie globale (SG) dans le traitement de première intention des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) localement avancé ou métastatique avec mutations du facteur de croissance épidermique (EGFR) par délétions de l’exon 19 (ex19del) ou substitution L858R1. La SG médiane devrait dépasser d’un an* la médiane de trois ans observée avec l’osimertinib, et n’a pas encore été atteinte1. Il s’agit de la première étude à démontrer une amélioration statistiquement et cliniquement significative de la SG par rapport à l’osimertinib1. Ces nouvelles données ont été présentées lors d’une session de présentation d’articles à l’occasion de l’édition 2025 du Congrès européen sur le cancer du poumon (ELCC, de l’anglais « European Lung Cancer Congress ») (résumé n° 4O).1
« La courbe de survie révèle que, par rapport à l’osimertinib administré en monothérapie, l’association amivantamab-lazertinib est susceptible d’améliorer l’espérance de vie des patients. Elle suggère également que le bénéfice du traitement augmente avec le temps », a déclaré le Professeur Nicolas Girard**, Docteur en Médecine, Chef du Service d’Oncologie Médicale de l’Institut Curie et Professeur d’Oncologie Thoracique et de Médecine Respiratoire à l’Université Paris Saclay (France), investigateur de l’essai. « Nous constatons que l’écart entre les courbes de survie continue de se creuser, ce qui correspond à nos attentes en matière d’amélioration des résultats pour les patients atteints d’un cancer du poumon. Ces résultats confirment que nous entrons dans une nouvelle ère pour le cancer du poumon non à petites cellules avancé muté par l’EGFR. »
Contrairement à la survie sans progression (SSP), qui mesure la durée pendant laquelle un traitement empêche le cancer d’évoluer, la survie globale peut aider les patients à comprendre l’effet que le traitement pourrait avoir sur leur capacité à vivre plus longtemps dès le début du traitement2,3. L’allongement de l’espérance de vie est l’indicateur le plus significatif de l’effet d’un traitement.4
« Nous nous sommes engagés à redéfinir les normes de soins pour les personnes atteintes d’un cancer du poumon et nous sommes ravis d’en être arrivés à ce stade de concrétisation », souligne Henar Hevia, Titulaire d’un Doctorat, Directrice Principale du Secteur Thérapeutique EMEA pour l’Oncologie, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Les résultats de l’étude MARIPOSA en matière de survie globale viennent étayer l’effet potentiel de l’association amivantamab-lazertinib sans chimiothérapie sur la vie des patients et celle de leurs proches, lorsque celle-ci est utilisée en traitement de première intention. »
Après un suivi médian de 37,8 mois, les patients recevant l’association amivantamab plus lazertinib en traitement de première intention ont présenté une survie globale significativement plus longue que ceux recevant l’osimertinib (rapport de risque [RR], 0,75 ; intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 0,61–0,92 ; valeur de P < 0,005†).1 La SG médiane pour l’association amivantamab plus lazertinib n’a pas encore été atteinte, ce qui indique que les bénéfices en termes de survie se prolongent au-delà de la période de suivi mesurée (non atteint [NA] ; IC à 95 pour cent, 42,9–NA)1. Comparativement, la SG médiane pour les patients traités par osimertinib était de 36,7 mois (IC à 95 pour cent, 33,4–41,0), ce qui est cohérent avec les études antérieures portant sur l’osimertinib.1,5 Cinquante-six pour cent des patients traités par amivantamab et lazertinib étaient en vie après trois ans et demi, contre 44 pour cent des patients traités par osimertinib, la norme de soins actuelle.1 Les projections basées sur les données de survie suggèrent que l’association amivantamab plus lazertinib pourrait prolonger la SG médiane d’au moins 12 mois par rapport à l’osimertinib*.1
L’association amivantamab plus lazertinib a également prolongé plusieurs critères d’évaluation secondaires par rapport à l’osimertinib, notamment la SSP intracrânienne, la durée de la réponse intracrânienne et le taux de réponse globale intracrânienne.1 L’association amivantamab plus lazertinib a notamment prolongé de plus de 14 mois le délai jusqu’à la progression symptomatique (TTSP), c’est-à-dire le temps écoulé entre la randomisation du traitement et l’apparition ou l’aggravation de symptômes de cancer du poumon nécessitant une intervention, par rapport à l’osimertinib (43,6 mois contre 29,3 mois ; RR, 0,69 ; IC à 95 pour cent, 0,57–0,83 ; valeur de P < 0,001†).1 Il s’agit d’une mesure centrée sur le patient clé, qui met en évidence la durée pendant laquelle la qualité de vie peut être préservée avant que les symptômes du cancer du poumon n’affectent davantage les soins prodigués au patient.6
« À l’heure actuelle, environ vingt pour cent des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) muté par l’EGFR survivent au-delà de cinq ans. Les résultats de l’étude MARIPOSA suggèrent que l’association amivantamab-lazertinib peut contribuer à l’évolution de cette statistique », a déclaré Joshua Bauml, Docteur en Médecine, Vice-Président, Leader du Bastion des Pathologies Spécialisé dans le Cancer du Poumon, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « En utilisant ce schéma thérapeutique en première intention, nous offrons la possibilité de retarder le recours à la chimiothérapie et de donner aux patients et à leurs familles l’espoir de disposer de plus de temps. »
Le profil d’innocuité de l’association amivantamab plus lazertinib était cohérent avec l’analyse primaire, avec des taux d’effets indésirables apparus sous traitement (EIAT) comparables à ceux des autres schémas thérapeutiques à base d’amivantamab.1 Aucun nouveau signal de sécurité n’a été identifié lors du suivi supplémentaire à plus long terme.1 Les EIAT les plus fréquents, tous grades confondus, ont été la paronychie (69 pour cent), la réaction liée à la perfusion (65 pour cent) et l’éruption cutanée (64 pour cent)1. L’association amivantamab plus lazertinib a entraîné des taux plus élevés d’EIAT liés à l’EGFR et à MET que l’osimertinib, à l’exception des diarrhées, pour lesquelles les taux étaient plus élevés pour l’osimertinib.1 Les effets indésirables (EI) de grade 3 ou plus les plus fréquents étaient les suivants : éruption cutanée (17 pour cent), paronychie (12 pour cent), dermatite acnéiforme (9 pour cent) et augmentation de l’alanine transaminase (7 pour cent).1 La plupart des EI sont survenus au début du traitement par l’association amivantamab plus lazertinib.1 Les résultats d’autres études portant sur l’amivantamab suggèrent que la mise en œuvre de mesures prophylactiques au cours des quatre premiers mois de traitement par l’association amivantamab plus lazertinib peut réduire de manière significative le risque de réactions cutanées, de réactions liées à la perfusion et d’événements thromboemboliques veineux.7,8,9,10
L’étude MARIPOSA a atteint son critère d’évaluation principal en octobre 2023, en démontrant une amélioration statistiquement significative et cliniquement significative de la SSP par rapport à l’osimertinib.11,12
L’association amivantamab plus lazertinib est autorisée dans l’Union européenne pour le traitement de première intention des patients atteints d’un CPNPC commun avancé, muté par l’EGFR.13 Ces résultats de SG seront partagés avec les autorités sanitaires du monde entier.
À propos de l’étude MARIPOSA
L’étude MARIPOSA (NCT04487080), qui a inclus 1 074 patients, est une étude randomisée de la Phase 3 évaluant l’amivantamab en association avec le lazertinib par rapport à l’osimertinib et au lazertinib en monothérapie dans le traitement de première intention des patients atteints d’un CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutations ex19del de l’EGFR ou substitution L858R de l’exon 21.14 Le critère d’évaluation principal de l’étude est la SSP (selon les critères RECIST v1.1‡) évaluée en relecture centralisée par un comité independent.14 Les critères d’évaluation secondaires comprennent la survie globale (SG), le taux de réponse globale (TRG), la durée de la réponse (DR), la deuxième survie sans progression (SSP2) et la SSP intracrânienne.14
À propos de l’Amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique anti EGFR-MET entièrement humain dont l’action cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR, ainsi que des mutations et amplifications de MET, et exploite le système immunitaire.13,15,16,17
La Commission européenne (CE) a autorisé l’amivantamab dans les indications suivantes :13
Amivantamab par voie intraveineuse :
- En association avec le lazertinib pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21.
- En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21, après échec d’un traitement antérieur comprenant un ITK de l’EGFR.
- En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations par insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR.
- En monothérapie, dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.
En février 2025, le Comité des médicaments à usage humain (CMUH) de l’Agence européenne des médicaments (AEM) a recommandé une extension de l’autorisation de mise sur le marché d’une formulation sous-cutanée (SC) de l’amivantamab, en association avec le lazertinib dans le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21, et en monothérapie dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR après échec d’un traitement à base de platine.18 Cette extension est actuellement en attente d’autorisation par la CE.
L’amivantamab par voie sous-cutanée est coformulé avec la hyaluronidase humaine recombinante PH20 (rHuPH20), la technologie d’administration de médicaments ENHANZE® de Halozyme.19
Pour obtenir la liste complète des effets indésirables et des informations sur la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit.13
▼ Conformément aux réglementations de l’UE relatives aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.
À propos du Lazertinib
En 2018, Janssen Biotech, Inc. a conclu un accord de licence et de collaboration avec Yuhan Corporation pour le développement du lazertinib (commercialisé sous le nom de LACLAZA en Corée du Sud). Le lazertinib est un inhibiteur de la tyrosine kinase (ITK) de troisième génération administré par voie orale, qui pénètre dans le cerveau et cible à la fois la mutation T790M et les mutations activatrices de l’EGFR, tout en épargnant l’EGFR de type sauvage.20 Une analyse de l’efficacité et de l’innocuité du lazertinib issue des données de l’étude de Phase 3 LASER301 a été publiée dans The Journal of Clinical Oncology en 2023.20
Veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit pour obtenir la liste complète des effets indésirables et des informations sur la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions à prendre lors de l’utilisation du lazertinib.21
▼ Conformément aux réglementations de l’UE relatives aux nouveaux médicaments, le lazertinib fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.
À propos du Cancer du Poumon Non à Petites Cellules
En Europe, on estime que 484 306 personnes ont reçu un diagnostic de cancer du poumon en 2022.22 Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer du poumon.23 Le cancer du poumon est le plus meurtrier des cancers en Europe, et cause plus de décès que le cancer du sein et de la prostate réunis.22
Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.23 Parmi les mutations « driver » les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.23,24 Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d’un CPNPC avec histologie d’adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.25,26,27,28 Les mutations ex19del ou L858R de l’exon 21 sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes.29 Le taux de survie à cinq ans pour les patients atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations de l’EGFR, traités par des ITK de l’EGFR, est inférieur à 20 pour cent et entre 25 et 32 pour cent des patients recevant l’osimertinib, le traitement de première intention de référence actuel, ne restent pas en vie suffisamment longtemps pour accéder au traitement de deuxième intention.30,31,32
À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Notre force, en termes d’innovation, dans les soins de santé nous permet de bâtir un monde dans lequel nous contribuons à la fois à prévenir et à soigner les maladies complexes, où les traitements sont plus adaptés et moins invasifs et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise dans le domaine de la médecine innovante et des technologies médicales, nous sommes les plus à même d’apporter des innovations à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui pour faire advenir les avancées de demain et avoir un impact majeur sur la santé de l’humanité.
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Mises en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » au sens de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995, et relatives au développement des produits et aux bénéfices potentiels, ainsi qu’à l’effet du traitement par amivantamab ou lazertinib. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou des incertitudes connus ou inconnus se matérialisent, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. et/ou Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter : les enjeux et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, notamment l’incertitude de succès clinique et d’obtention des autorisations réglementaires ; l’incertitude du succès commercial ; les difficultés et retards de fabrication ; la concurrence, et particulièrement les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par nos concurrents ; les contestations de brevets ; les problèmes d’efficacité ou d’innocuité entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires ; les changements de comportement et des habitudes de consommation des acheteurs de produits et services de soin de santé ; les évolutions juridiques et réglementaires applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé ; et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Vous trouverez une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-K, notamment dans les sections intitulées « Mises en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque », ainsi que dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-Q et les autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse : http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Ni Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc., Janssen-Cilag, S.A. ni Johnson & Johnson ne s’engagent à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs.
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*Sur la base d’une distribution exponentielle de la SG dans les deux bras, l’amélioration de la SG médiane devrait dépasser 1 an. Les facteurs inclus dans le modèle étaient : le type de mutation à l’inclusion, l’origine ethnique, les métastases cérébrales à l’inclusion, l’âge, le sexe, le statut de performance ECOG et le poids à l’inclusion. Il s’agit d’une estimation et les résultats définitifs observés peuvent varier.
**Le Professeur Nicolas Girard a été consultant pour Janssen-Cilag International NV ; il n’a pas été rémunéré pour son travail dans les médias.
† La valeur de P est calculée par le test du log-rank stratifié selon le type de mutation (Ex19del ou L858R), l’origine ethnique (asiatique ou non asiatique) et les antécédents de métastases cérébrales (présence ou absence).
‡ Les critères RECIST (version 1.1) font référence aux critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides, qui constituent une méthode standard de mesure de la réponse des tumeurs solides au traitement et qui se basent sur le fait que les tumeurs rétrécissent, restent les mêmes ou grossissent.
Références
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