Les données publiées dans The New England Journal of Medicine démontrent que l’association de RYBREVANT®▼ (amivantamab) et de LAZCLUZE®▼ (lazertinib) serait susceptible de redéfinir les perspectives de survie dans le traitement de première
Ce schéma thérapeutique combiné sans chimiothérapie pourrait ouvrir une nouvelle ère dans le traitement de première intention, avec une survie globale médiane prévue supérieure à quatre ans, dépassant ainsi de plus d’un an celle obtenue avec l’ITK osimertinib en monothérapie*1
BEERSE, BELGIQUE, 10 sept. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société de Johnson & Johnson, annonce ce jour que The New England Journal of Medicine (NEJM) a publié les résultats de l’étude de la Phase 3 MARIPOSA. Les données de comparaison directe avec l’osimertinib en monothérapie ont révélé que l’association RYBREVANT®▼(amivantamab) plus LAZCLUZE®▼(lazertinib) améliorait de manière statistiquement et cliniquement significative la survie globale (SG) des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) localement avancé ou métastatique non traité auparavant (de première intention) présentant des mutations par délétions de l’exon 19 (ex19del) ou substitution L858R du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR).1
Après un suivi médian de 37,8 mois, l’association amivantamab plus lazertinib a démontré une réduction statistiquement significative du risque de décès par rapport à l’osimertinib en monothérapie (rapport de risque [RR], 0,75 ; intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 0,61–0,92, P = 0,005).1 La SG médiane pour cette association a été étudiée en tant que critère d’évaluation secondaire et n’a pas encore été atteinte (IC à 95 pour cent, 42,9–non estimable).1 La SG médiane pour cette association devrait dépasser quatre ans (augmentation absolue de plus d’un an) par rapport à la SG médiane de trois ans observée avec l’osimertinib en monothérapie (36,7 mois ; IC à 95 pour cent, 33,4–41,0).*1
« Il s’agit d’un véritable tournant dans la manière dont nous traitons le cancer du poumon avec mutation de l’EGFR », a déclaré le Dr James Chih-Hsin Yang**, Docteur en Médecine, Titulaire d’un Doctorat, Département d’Oncologie Médicale, National Taiwan University Cancer Center, Taipei, Taïwan, et auteur principal de l’article publié dans le NEJM. « Nous constatons aujourd’hui que les patients peuvent vivre beaucoup plus longtemps que nous ne l’aurions cru possible. Débuter par l’association amivantamab plus lazertinib peut prévenir les types de résistance fréquents et permet de réserver la chimiothérapie pour des lignes de traitement ultérieures, ce qui peut contribuer à l’obtention de meilleurs résultats. »
Grâce à son triple mode d’action, qui consiste à cibler les mutations de l’EGFR sous deux angles différents, à inhiber le récepteur MET et à stimuler le système immunitaire, le traitement combiné amivantamab plus lazertinib pourrait modifier l’évolution naturelle de la maladie en réduisant le spectre et la complexité des mécanismes de résistance acquise.2,3,4,5
« Ces résultats sont le fruit d’années de recherche acharnée et marquent une étape décisive qui redéfinit le traitement du cancer du poumon avancé avec mutation de l’EGFR », a déclaré Henar Hevia, Titulaire d’un Doctorat, Directrice Principale du Secteur Thérapeutique EMEA pour l’Oncologie chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Ces données publiées viennent renforcer encore davantage le potentiel du traitement sans chimiothérapie à double cible associant l’amivantamab et le lazertinib pour offrir des résultats cliniques significatifs à long terme et une expérience positive aux patients et à leurs familles par rapport à la norme de soins actuelle, et c’est ce qui motive notre engagement quotidien en faveur de l’innovation. »
Des analyses plus approfondies présentées dans la publication ont révélé que les patients traités par l’association amivantamab plus lazertinib avaient bénéficié d’un délai supplémentaire de plus de six mois avant de recevoir un traitement supplémentaire par rapport à ceux ayant reçu de l’osimertinib en monothérapie (délai médian avant le traitement suivant : 30,3 mois contre 24,0 mois, RR, 0,76 ; IC à 95 pour cent, 0,64–0,90).1 L’association amivantamab plus lazertinib a également amélioré la survie sans progression après le traitement suivant (SSP2), avec une médiane de 42,9 mois contre 32,8 mois pour l’osimertinib en monothérapie (RR, 0,74 ; IC à 95 pour cent, 0,61–0,90).1 Ces résultats confirment le bénéfice clinique durable de l’association au-delà du cadre de première intention.1
« Grâce à ces résultats, nous avons la possibilité de modifier la trajectoire de cette maladie », a déclaré Joshua Bauml, Docteur en Médecine, Vice-Président, Responsable du Domaine Pathologique du Cancer du Poumon, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Les besoins non satisfaits restent élevés pour les personnes atteintes d’un cancer du poumon avec mutation de l’EGFR. Aujourd’hui, nous obtenons des résultats en matière de survie qui redéfinissent ce que le traitement de première intention peut accomplir. »
Le profil d’innocuité de l’association amivantamab plus lazertinib était cohérent avec l’analyse primaire, avec des taux d’effets indésirables apparus sous traitement (EIAT) comparables à ceux des autres schémas thérapeutiques à base d’amivantamab.1 Aucun nouveau signal de sécurité n’a été identifié lors du suivi supplémentaire à plus long terme.1 Les EIAT les plus fréquents, tous grades confondus, ont été la paronychie (69 pour cent), la réaction liée à la perfusion (65 pour cent) et l’éruption cutanée (64 pour cent).1 L’association amivantamab plus lazertinib a entraîné des taux plus élevés d’EIAT liés à l’EGFR et à MET que l’osimertinib en monothérapie, à l’exception des diarrhées, pour lesquelles les taux étaient plus élevés pour l’osimertinib en monothérapie.1 Les effets indésirables (EI) de grade 3 ou plus les plus fréquents étaient les suivants : éruption cutanée (17 pour cent), paronychie (12 pour cent), dermatite acnéiforme (9 pour cent), embolie pulmonaire*** (9 %) et augmentation de l’alanine transaminase (7 pour cent).1 La plupart des EI majeurs sont survenus au début du traitement par l’association amivantamab plus lazertinib.1 Les résultats d’autres études portant sur l’amivantamab suggèrent que la mise en œuvre de mesures prophylactiques dès le début du traitement par l’association amivantamab plus lazertinib peut réduire de manière significative le risque de réactions cutanées, de réactions liées à la perfusion et d’événements thromboemboliques veineux.6,7,8,9
Johnson & Johnson a présenté les résultats globaux en matière de survie lors du Congrès européen sur le cancer du poumon (ELCC) 2025 qui s’est tenu à Paris en mars.10
À propos de l’étude MARIPOSA
L’étude MARIPOSA (NCT04487080), qui a inclus 1 074 patients, est une étude randomisée de la Phase 3 visant à évaluer l’amivantamab en association avec le lazertinib par rapport à l’osimertinib en monothérapie et au lazertinib en monothérapie dans le traitement de première intention des patients atteints d’un CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutations ex19del de l’EGFR ou substitution L858R de l’exon 21.11 Le critère d’évaluation principal de l’étude est la survie sans progression (SSP) (selon les critères RECIST v1.1‡) évaluée en relecture centralisée par un comité indépendant.11 Les critères d’évaluation secondaires comprennent la survie globale (SG), le taux de réponse globale (TRG), la durée de la réponse (DR), la deuxième survie sans progression (SSP2) et la SSP intracrânienne.11 L’étude MARIPOSA a atteint son critère d’évaluation principal en octobre 2023, démontrant une amélioration statistiquement et cliniquement significative de la SSP par rapport à l’osimertinib en monothérapie.11,12
À propos de l’Amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique anti EGFR-MET entièrement humain dont l’action cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR ainsi que des mutations et amplifications MET, et exploite le système immunitaire.2,3,4,13
La Commission européenne (CE) a autorisé l’amivantamab dans les indications suivantes :13
Amivantamab par voie intraveineuse :
- En association avec le lazertinib pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21.
- En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21, après échec d’un traitement antérieur comprenant un ITK de l’EGFR.
- En association avec le carboplatine et le pémétrexed dans le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations par insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR.
- En monothérapie dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations par insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.
Amivantamab par voie sous-cutanée :
- En association avec le lazertinib dans le traitement de première -intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21.
- En monothérapie dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations par insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR, après échec d’un traitement -à base de platine.
L’amivantamab par voie sous-cutanée (SC) est coformulé avec la hyaluronidase humaine recombinante PH20 (rHuPH20), la technologie d’administration de médicaments ENHANZE® de Halozyme.14
En mai 2025, une demande a été soumise à l’Agence européenne des médicaments (AEM) afin d’étendre l’autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab à d’autres schémas posologiques sous-cutanés, notamment :15
- L’utilisation d’un schéma posologique d’amivantamab par voie SC toutes les trois semaines (Q3S) en association avec le carboplatine et le pémétrexed pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21, après échec d’un traitement antérieur comprenant un ITK de l’EGFR, et pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR.
- Un schéma posologique d’amivantamab par voie SC toutes les quatre semaines (Q4S), en association avec le lazertinib pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR par délétions de l’exon 19 ou substitution L858R de l’exon 21, et en monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations activatrices de l’exon 20 de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.
Pour obtenir la liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le Résumé des caractéristiques du produit.13
▼ Conformément aux réglementations de l’UE relatives aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.
À propos du Lazertinib
En 2018, Janssen Biotech, Inc. a conclu un accord de licence et de collaboration avec Yuhan Corporation pour le développement du lazertinib (commercialisé sous le nom de LACLAZA en Corée du Sud). Le lazertinib est un inhibiteur de la tyrosine kinase (ITK) de troisième génération, administré par voie orale qui pénètre dans le cerveau et cible à la fois la mutation T790M et les mutations activatrices de l’EGFR, tout en épargnant l’EGFR de type sauvage.16 Une analyse de l’efficacité et de l’innocuité du lazertinib issue des données de l’étude de la Phase 3 LASER301 a été publiée dans The Journal of Clinical Oncology en 2023.16
Veuillez consulter le Résumé des caractéristiques du produit pour obtenir la liste complète des effets indésirables et des informations sur la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions à prendre lors de l’utilisation du lazertinib.17
▼ Conformément aux réglementations de l’UE relatives aux nouveaux médicaments, le lazertinib fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.
À propos du Cancer du Poumon Non à Petites Cellules
On estime qu’en Europe, un cancer du poumon a été diagnostiqué chez 484 306 personnes en 2022.18 Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer du poumon.19 Le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier en Europe, responsable de plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate réunis.18
Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.19 Parmi les mutations « driver » les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.19,20 Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d’un CPNPC avec histologie d’adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.21,22,23,24 Les mutations ex19del ou L858R de l’exon 21 sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes.25 Le taux de survie à cinq ans pour les patients atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations de l’EGFR, traités par des ITK de l’EGFR, est inférieur à 20 pour cent et entre 25 et 32 pour cent des patients recevant l’osimertinib, le traitement de première intention de référence actuel, ne restent pas en vie suffisamment longtemps pour accéder au traitement de deuxième intention.26,27,28
À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Notre force, en termes d’innovation, dans les soins de santé nous permet de construire un monde dans lequel nous contribuons à la fois à prévenir et à soigner les maladies complexes, où les traitements sont plus adaptés et moins invasifs et où les solutions sont personnelles. Grâce à notre expertise dans le domaine de la médecine innovante et des technologies médicales, nous sommes les plus à même d’apporter des innovations à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui pour faire advenir les avancées de demain et avoir un impact majeur sur la santé de l’humanité.
Pour en savoir plus, consultez le site https://innovativemedicine.jnj.com/emea/. Suivez-nous sur https://www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea/. Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc. et Janssen-Cilag, S.A. sont des sociétés de Johnson & Johnson.
Mises en garde relatives aux déclarations prospectives
Ce communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995 relatif au développement du produit, aux bénéfices potentiels et à l’impact du traitement par amivantamab. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus venaient à se présenter, les conséquences réelles pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter, les incertitudes et enjeux inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, la concurrence, y compris les progrès technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents, les contestations de brevets, les changements dans le comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé, les évolutions juridiques et réglementaires applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Vous trouverez une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs dans le tout dernier rapport annuel de Johnson & Johnson déposé sous formulaire 10-K, notamment dans les sections intitulées « Mises en garde relatives aux déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque », ainsi que dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson déposés sous formulaire 10-Q et les autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne aux adresses suivantes : http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Johnson & Johnson ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de la publication de nouvelles informations ou de futurs événements ou développements.
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* Sur la base d’une distribution exponentielle de la SG dans les deux bras, l’amélioration de la SG médiane devrait dépasser 1 an. Les facteurs inclus dans le modèle étaient : le type de mutation à l’inclusion, l’origine ethnique, les métastases cérébrales à l’inclusion, l’âge, le sexe, le statut de performance ECOG et le poids à l’inclusion. Il s’agit d’une estimation et les résultats définitifs observés peuvent varier.
** Le Dr James Chih-Hsin Yang, Docteur en Médecine, Titulaire d’un Doctorat, a été un consultant de Johnson & Johnson ; il n’a reçu aucune rémunération pour toute activité médiatique.
*** Une TEV, terme générique désignant l’embolie pulmonaire, la thrombose veineuse profonde, la thrombose veineuse des membres, la thrombose veineuse, la thrombose, la thrombose veineuse superficielle, la thrombophlébite, l’embolie, l’embolie veineuse, la thrombose de la veine jugulaire, la thrombose du sinus sigmoïde, la thrombose de la veine axillaire, l’infarctus pulmonaire, la thrombose de la veine cave, le cathétérisme veineux central, la thrombose de la veine porte, le syndrome post-thrombotique, la thrombose pulmonaire, la thrombose du sinus sagittal supérieur, la thrombose du sinus transverse, la thrombose veineuse pelvienne et le syndrome de la veine cave supérieure, est survenue chez 40 pour cent des participants du groupe amivantamab-lazertinib et 11 pour cent du groupe osimertinib ; ces événements peuvent être pris en charge par une anticoagulation prophylactique pendant les 4 premiers mois du traitement et conformément aux directives locales.
‡ Les critères RECIST (v1.1) font référence aux critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides, qui constituent une méthode standard de mesure de la réponse des tumeurs solides au traitement et qui se basent sur le fait que les tumeurs rétrécissent, restent les mêmes ou grossissent.
Source : Johnson & Johnson
1 Yang, JCH, et al. Overall Survival with Amivantamab-Lazertinib in EGFR-mutant Advanced NSCLC. N Engl J Med. 2025. Disponible à l’adresse : Overall Survival with Amivantamab–Lazertinib in EGFR-Mutated Advanced NSCLC | New England Journal of Medicine. Consulté en septembre 2025
2 Moores SL, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.
3 Grugan KD, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. Mabs. 2017;9(1):114-126.
4 Yun J, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov. 2020;10(8):1194-1209.
5 Besse B, et al. Mechanisms of Acquired Resistance to First-line Amivantamab Plus Lazertinib Versus Osimertinib in Patients With EGFR-mutant Advanced Non-Small Cell Lung Cancer: An Analysis from the Phase 3 MARIPOSA Study. 2024 European Society For Medical Oncology Congress. Août 2024.
6 Innovativemedicine.jnj.com. COCOON study meets primary endpoint demonstrating statistically significant and clinically meaningful reduction in dermatologic reactions with easy-to-use prophylactic regimen for patients with EGFR-mutated NSCLC. 14 janvier 2025. Consulté en mars 2025.
7 Spira AI, et al. Preventing Infusion-Related Reactions With Intravenous Amivantamab-Results From SKIPPirr, a Phase 2 Study: A Brief Report. J Thorac Oncol. 24 jan 2025:S1556-0864(25)00051-6.
8 Leighl N, et al. PALOMA-3 Investigators. Subcutaneous Versus Intravenous Amivantamab, Both in Combination With Lazertinib, in Refractory Epidermal Growth Factor Receptor-Mutated Non-Small Cell Lung Cancer: Primary Results From the Phase III PALOMA-3 Study. J Clin Oncol. 20 oct 2024;42(30):3593-3605.
9 Girard, et al. Preventing Moderate to Severe Dermatologic Adverse Events in First-line EGFR-mutant Advanced NSCLC Treated with Amivantamab Plus Lazertinib: Early Success of the COCOON Trial. 2025 European Lung Cancer Congress. 27 mars 2025.
10 Yang J, et al. Amivantamab Plus Lazertinib vs Osimertinib in First-line (1L) EGFR-mutant (EGFRm) Advanced NSCLC: Final Overall Survival (OS) from the Phase 3 MARIPOSA Study. 2025 European Lung Cancer Congress. 26 mars 2025.
11 Cho BC, et al. Amivantamab Plus Lazertinib in Previously Untreated EGFR-Mutated Advanced NSCLC. The New England Journal of Medicine 2024. doi:10.1056/NEJMoa2403614. Disponible à l’adresse : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2403614. Consulté en août 2025.
12 Innovativemedicine.jnj.com/EMEA. Landmark Phase 3 MARIPOSA Study Shows RYBREVANT®▼(amivantamab) Plus Lazertinib Resulted in 30 Percent Reduction in Risk of Disease Progression or Death Compared to Osimertinib in Patients with EGFR-Mutated Non-Small Cell Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://innovativemedicine.jnj.com/emea/landmark-phase-3-mariposa-study-shows-rybrevantrvamivantamab-plus-lazertinib-resulted-30-percent. Consulté en août 2025
13 European Medicines Agency. Amivantamab Summary of Product Characteristics. Juillet 2025. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/rybrevant-epar-product-information_en.pdf. Consulté en août 2025.
14 Leighl NB et al. Subcutaneous Versus Intravenous Amivantamab, Both in Combination With Lazertinib, in Refractory Epidermal Growth Factor Receptor–Mutated Non–Small Cell Lung Cancer: Primary Results From the Phase III PALOMA-3 Study. ASCO Journal of Clinical Oncology. 2024;42(3):3593-3605.
15 Innovativemedicine.jnj.com/EMEA. Johnson & Johnson submits application to the European Medicines Agency for additional subcutaneous RYBREVANT®▼(amivantamab) dosing regimens to treat patients with EGFR-mutated advanced non-small cell lung cancer. Disponible à l’adresse : https://innovativemedicine.jnj.com/emea/newsroom/johnson-johnson-submits-application-to-the-european-medicines-agency-for-additional-subcutaneous-rybrevant-amivantamab-dosing-regimens-to-treat-patients-with-egfr-mutated-advanced-non-small-cell-lung-cancer Accessed August 2025.
16 Cho, BC, et al. Lazertinib versus gefitinib as first-line treatment in patients with EGFR-mutated advanced non-small-cell lung cancer: Results From LASER301. J Clin Oncol. 2023;41(26):4208-4217.
17 European Medicines Agency. Lazcluze. Juillet 2025. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/lazcluze. Consulté en août 2025.
18 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.who.int/media/globocan/factsheets/populations/908-europe-fact-sheet.pdf. Consulté en août 2025.
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26 Lin JJ, et al. Five-Year Survival in EGFR-Mutant Metastatic Lung Adenocarcinoma Treated with EGFR-TKIs. J Thorac Oncol. 2016;11(4):556-65.
27 Nieva J, et al. A real-world (rw) observational study of long-term survival (LTS) and treatment patterns after first-line (1L) osimertinib in patients (pts) with epidermal growth factor receptor (EGFR) mutation-positive (m) advanced non-small cell lung cancer (NSCLC). Ann Oncol. 2023;34, S774.
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Septembre 2025
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