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RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec LAZCLUZE®▼ (lazertinib) réduit la résistance acquise à l’osimertinib dans le traitement de première intention du cancer du poumon non à petites cellules avancé avec mutations de l’EGFR

09-09-2025

De nouvelles données démontrent que l’association avec l’amivantamab réduit significativement les mutations courantes de résistance à l’EGFR et au MET observées avec les ITK de l’EGFR1

BEERSE, BELGIQUE, Sept. 09, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société Johnson & Johnson, a annoncé aujourd’hui les résultats d’une nouvelle analyse de l’étude de la Phase 3 MARIPOSA montrant que le traitement de première intention par RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec LAZCLUZE®▼ (lazertinib) réduit significativement le développement d’une résistance induite par le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) et MET par rapport à l’osimertinib en monothérapie chez les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé avec mutations de l’EGFR et délétion de l’exon 19 (ex19del) ou mutations L858R (résumé du poster PT1.03).1 Ces données sur la résistance s’appuient sur le bénéfice en termes de survie globale précédemment rapporté pour cette association sans chimiothérapie et soulignent son potentiel à modifier la biologie de la maladie en réduisant la résistance acquise.1,2 Les derniers résultats sont présentés lors de la Conférence mondiale sur le cancer du poumon (WCLC) 2025 de l’Association internationale pour l’étude du cancer du poumon (IASLC).

La résistance aux inhibiteurs de la tyrosine kinase (ITK) de l’EGFR reste un obstacle courant et majeur au contrôle à long terme de la maladie.3 Ce défi permanent souligne la nécessité de mettre en place des stratégies de nouvelle génération capables de prévenir plus efficacement le développement d’une résistance médiée par l’EGFR et le MET et de prolonger la survie des patients atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR.

« Nous disposons désormais d’un ensemble de données suggérant que la monothérapie par ITK n’est plus suffisante pour la majorité des patients dans le traitement de première intention du cancer du poumon avec mutations de l’EGFR », a déclaré le professeur Sanjay Popat*, FRCP, titulaire d’un doctorat, oncologue médical au Royal Marsden Hospital et à l’Institute of Cancer Research au Royaume-Uni. « Les résultats de l’étude MARIPOSA montrent que l’association de l’amivantamab et du lazertinib constitue une avancée importante, car elle réduit la résistance induite par l’EGFR et le MET observée avec la monothérapie par ITK de l’EGFR et offre aux patients une première réponse plus longue et plus forte. »

Conformément aux données précédentes présentées lors du congrès 2024 de la Société européenne d’oncologie médicale (ESMO), ces analyses actualisées de l’étude MARIPOSA confirment que les patients traités par amivantamab plus lazertinib étaient moins susceptibles de développer les deux principaux types de résistance observés avec l’osimertinib (amplification du MET et mutations secondaires de l’EGFR) que ceux traités par l’osimertinib seul.1,4 Des amplifications du gène MET sont survenues chez 3 pour cent des patients sous association, contre 13 pour cent sous monothérapie par osimertinib (P = 0,002), et les mutations secondaires de l’EGFR (telles que C797S) étaient significativement moins fréquentes sous amivantamab plus lazertinib que sous monothérapie par osimertinib (1 pour cent contre 8 pour cent ; P=0,01).1 L’amplification acquise du gène MET a conduit à l’arrêt prématuré du traitement chez 23 pour cent des patients sous monothérapie par osimertinib dans les six mois, contre 4 pour cent sous amivantamab plus lazertinib.1 Parmi les patients qui ont continué à prendre de l’amivantamab pendant au moins six mois, les taux de résistance acquise étaient rares, 2 pour cent d’entre eux développant une amplification du gène MET et aucune mutation EGFR C797S n’ayant été observée.1 L’analyse a également révélé une plus grande diversité génétique globale de la résistance chez les patients traités par osimertinib en monothérapie, en particulier chez les patients présentant des altérations basées sur l’EGFR et le MET.1

« L’amivantamab et le lazertinib ont été délibérément associés afin de lutter de manière proactive contre les mécanismes de résistance acquise aux ITK de l’EGFR, l’un des plus grands défis et obstacles au contrôle à long terme de la maladie dans le CPNPC avec mutations de l’EGFR », a déclaré Henar Hevia, titulaire d’un doctorat, directrice principale, responsable du domaine thérapeutique EMEA, Oncologie, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Ces résultats viennent s’ajouter à un nombre croissant de données en faveur de cette association innovante et reflètent notre dévouement et notre engagement à faire progresser les options thérapeutiques qui non seulement aident les patients à poursuivre leur traitement plus longtemps, mais aussi donnent des résultats significatifs dans un domaine où les besoins sont critiques, apportant ainsi un nouvel espoir aux patients et à leurs familles. »

L’innocuité de l’amivantamab associé au lazertinib était conforme à l’analyse primaire et aucun nouveau signal d’innocuité n’est apparu lors du suivi à plus long terme.2 Les évènements indésirables sérieux attribuables au traitement les plus fréquents, tous grades confondus, étaient la paronychie (69 pour cent), les réactions liées à la perfusion (65 pour cent) et les éruptions cutanées (64 pour cent).2 La plupart des effets indésirables clés sont survenus au début du traitement.2 D’autres études sur l’amivantamab suggèrent que l’utilisation de mesures préventives ou prophylactiques peut contribuer à réduire le nombre global et la gravité des réactions cutanées, des réactions liées à la perfusion et des événements thromboemboliques veineux.5,6,7,8

« Le choix du premier traitement pour le CPNPC avec mutations de l’EGFR est l’une des décisions les plus importantes. Il peut influencer la progression de la maladie au fil du temps », a déclaré Joshua Bauml, M.D., vice-président et responsable du domaine des maladies pulmonaires chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Ces données montrent que l’amivantamab associé au lazertinib modifie la biologie de la maladie en bloquant les voies de résistance que les cancers utilisent généralement pour déjouer le traitement. En réduisant la résistance en première intention, nous pouvons potentiellement prolonger la survie et garder les options de traitement futures pour les patients ouvertes. »

L’amivantamab associé au lazertinib a été approuvé par la Commission européenne en décembre 2024 pour les patients atteints d’un CPNPC de première intention avec mutations de l’EGFR, sur la base de l’étude de la Phase 3 MARIPOSA.9

À propos de l’étude MARIPOSA
MARIPOSA (NCT04487080), pour laquelle 1 074 patients ont été recrutés, est une étude randomisée de la Phase 3 évaluant l’amivantamab en association avec le lazertinib par rapport à l’osimertinib en monothérapie et au lazertinib seul dans le traitement de première intention des patients atteints d’un CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutations ex19del ou substitution L858R dans l’exon 21 de l’EGFR.10 Le critère d’évaluation principal de l’étude est la survie sans progression (SSP) (selon les critères RECIST v1.1) évaluée en relecture centralisée par un comité indépendant.10 Les critères d’évaluation secondaires comprennent la survie globale (SG), le taux de réponse global (TRG), la durée de réponse (DR), la deuxième survie sans progression (SSP2) et la SSP intracrânienne.10 L’étude MARIPOSA a atteint son critère d’évaluation principal en octobre 2023, montrant une amélioration statistiquement significative et cliniquement significative de la SSP par rapport à l’osimertinib en monothérapie.10,11

À propos d’Amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique EGFR-MET entièrement humain dont l’action cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR ainsi que des mutations et amplifications MET, et exploite le système immunitaire12,13,14,15.

La Commission européenne (CE) a approuvé l’amivantamab dans les indications suivantes :15

Amivantamab par voie intraveineuse :

  • En association avec le lazertinib pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par délétions de l’exon 19 ou par substitution L858R de l’exon 21 de l’EGFR.
  • En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par délétions de l’exon 19 ou par substitution L858R de l’exon 21 de l’EGFR, après échec d’un traitement antérieur incluant un ITK de l’EGFR.
  • En association avec le carboplatine et le pémétrexed, dans le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations d’insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR.
  • En monothérapie, pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations d’insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.

Amivantamab par voie sous-cutanée :

  • En association avec le lazertinib pour le traitement de première-intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par délétions de l’exon 19 ou par substitution L858R de l’exon 21 de l’EGFR.
  • En monothérapie, pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations d’insertion de l’exon 20 activatrices de l’EGFR, après échec d’un traitement à base-de platine.

L’amivantamab par voie sous-cutanée (SC) est coformulé avec l’hyaluronidase humaine recombinante PH20 (rHuPH20), la technologie d’administration de médicaments ENHANZE® d’Halozyme.16

En mai 2025, une demande a été soumise à l’Agence européenne des médicaments (EMA) afin d’étendre l’autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab à d’autres schémas posologiques sous-cutanés, notamment.17

  • L’utilisation d’un schéma posologique d’amivantamab SC toutes les trois semaines (Q3W) en association avec le carboplatine et le pemetrexed pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par délétions de l’exon 19 ou par substitution L858R de l’exon 21 de l’EGFR, après échec d’un traitement antérieur incluant un ITK de l’EGFR, et pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations activatrices par insertion dans l’exon 20 de l’EGFR.
  • Un schéma posologique d’amivantamab SC toutes les quatre semaines (Q4W), en association avec le lazertinib, pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par délétions de l’exon 19 ou par substitution L858R de l’exon 21 de l’EGFR, et en monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations activatrices par insertion de l’exon 20 de l’EGFR, après échec d’un traitement à base de platine.

Pour obtenir une liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit.15

▼ Conformément à la réglementation de l’UE relative aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire. 

À propos du Lazertinib
En 2018, Janssen Biotech, Inc. a conclu un accord de licence et de collaboration avec Yuhan Corporation pour le développement de lazertinib (commercialisé sous le nom de LACLAZA en Corée du Sud). Le lazertinib est un ITK de l’EGFR oral de troisième génération qui pénètre dans le cerveau et cible à la fois la mutation T790M et les mutations activatrices de l’EGFR, tout en ayant une activité moindre contre l’EGFR de type sauvage.18 Une analyse de l’efficacité et de l’innocuité du lazertinib issue des données de l’étude LASER301 de la Phase 3 a été publiée dans The Journal of Clinical Oncology en 2023.18

Pour obtenir la liste complète des effets indésirables et des informations sur la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi du lazertinib, veuillez vous référer au Résumé des caractéristiques du produit.19

▼ Conformément à la réglementation de l’UE relative aux nouveaux médicaments, le lazertinib fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.   

À propos du Cancer du Poumon Non à Petites Cellules
En Europe, on estime que 484 306 personnes ont reçu un diagnostic de cancer du poumon en 2022.20 Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer du poumon.21 Le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier en Europe, avec plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate réunis.20

Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules21. Parmi les mutations « driver » les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires21,22. Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d’un CPNPC avec histologie d’adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques23,24,25,26. Les mutations ex19del ou substitution L858R dans l’exon 21 de l’EGFR sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes27. Le taux de survie à cinq ans pour les patients atteints d’un CPNPC avancé présentant des mutations de l’EGFR traités par des ITK de l’EGFR est inférieur à 20 pour cent, et 25 à 32 pour cent des patients recevant osimertinib, le traitement de première intention de référence actuel, ne restent pas en vie suffisamment longtemps pour accéder au traitement de deuxième intention.28,29,30

À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Nous sommes force d’innovation dans le domaine des soins de santé et nous bâtissons un monde où les maladies complexes sont évitées, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs, et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise en matière d’innovation au service de la médecine et de technologie médicale, nous sommes particulièrement bien placés pour apporter un souffle nouveau à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui afin de réaliser les percées de demain et d’avoir un impact profond sur la santé de l’humanité.

Pour en savoir plus, consultez le site https://innovativemedicine.jnj.com/emea/. Suivez-nous sur https://www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea/. Janssen-Cilag International NV, Janssen Biotech, Inc. et Janssen-Cilag, S.A. sont des sociétés de Johnson & Johnson companies.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives », telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995, concernant le développement des produits et les bénéfices potentiels ainsi que l’impact du traitement par amivantamab et lazertinib. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces énoncés reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus survenaient, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter, les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires, l’incertitude du succès commercial, la concurrence, y compris les progrès technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents, les contestations de brevets, les changements dans le comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé, les changements dans les lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé, et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent être consultées dans le dernier rapport annuel de Johnson & Johnson sur formulaire 10-K, y compris dans les sections intitulées « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque » et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse : http://www.sec.gov/http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Johnson & Johnson n’a pas l’obligation de mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs. 

© Janssen-Cilag International NV, Inc. 2025. Tous droits réservés.

*Le professeur Sanjay Popat, FRCP, titulaire d’un doctorat, a occupé le poste de consultant chez Johnson & Johnson ; il n’a reçu aucune rémunération pour toute activité médiatique.

Les critères RECIST (v1.1) font référence aux critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides, qui constituent une méthode standard de mesure de la réponse des tumeurs solides au traitement et qui se basent sur le fait que les tumeurs rétrécissent, restent les mêmes ou grossissent. 

Source : Johnson & Johnson


1 Hayashi, H, et al. Mechanisms of Acquired Resistance to First-Line Amivantamab Plus Lazertinib Vs Osimertinib: Updated Analysis from MARIPOSA [IASLC abstract PT1.03]. Présenté à l'occasion de: IASLC 2025 World Lung Conference on Lung Cancer; du 6 au 9 septembre 2025, à Barcelone, en Espagne.

2 Yang J, et al. Amivantamab Plus Lazertinib vs Osimertinib in First-line (1L) EGFR-mutant (EGFRm) Advanced NSCLC: Final Overall Survival (OS) from the Phase 3 MARIPOSA Study. 2025 European Lung Cancer Congress. 26 mars 2025.

3 Tan CS, Kumarakulasinghe NB, Huang YQ, et al. Third-generation EGFR TKIs: current data and future directions. Mol Cancer. 2018;17:29. doi:10.1186/s12943-018-0778-0.

4 Besse B, et al. Presented at the European Society for Medical Oncology (ESMO) Congress; du 13 au 17 septembre 2024 à Barcelone, en Espagne.

5 Innovativemedicine.jnj.com. COCOON study meets primary endpoint demonstrating statistically significant and clinically meaningful reduction in dermatologic reactions with easy-to-use prophylactic regimen for patients with EGFR-mutated NSCLC. 14 janvier 2025. Consulté en mars 2025.

6 Spira AI, et al. Preventing Infusion-Related Reactions With Intravenous Amivantamab-Results From SKIPPirr, a Phase 2 Study: A Brief Report. J Thorac Oncol. 24 jan 2025:S1556-0864(25)00051-6.

7 Leighl N, et al. PALOMA-3 Investigators. Subcutaneous Versus Intravenous Amivantamab, Both in Combination With Lazertinib, in Refractory Epidermal Growth Factor Receptor–Mutated Non–Small Cell Lung Cancer: Primary Results From the Phase III PALOMA-3 Study. J Clin Oncol. 20 oct 2024;42(30):3593-3605.

8 Girard, et al. Preventing Moderate to Severe Dermatologic Adverse Events in First-line EGFR-mutant Advanced NSCLC Treated with Amivantamab Plus Lazertinib: Early Success of the COCOON Trial. 2025 European Lung Cancer Congress. 27 mars 2025.

9 European Medicines Agency. Amivantamab Summary of Product Characteristics. Janvier 2025. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/rybrevant-epar-product-information_en.pdf. Consulté en septembre 2025.

10 Cho BC, et al. Amivantamab Plus Lazertinib in Previously Untreated EGFR-Mutated Advanced NSCLC. The New England Journal of Medicine 2024. doi:10.1056/NEJMoa2403614. Disponible à l’adresse : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2403614. Consulté en août 2025.

11 Innovativemedicine.jnj.com/EMEA. Landmark Phase 3 MARIPOSA Study Shows RYBREVANT®▼(amivantamab) Plus Lazertinib Resulted in 30 Percent Reduction in Risk of Disease Progression or Death Compared to Osimertinib in Patients with EGFR-Mutated Non-Small Cell Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://innovativemedicine.jnj.com/emea/landmark-phase-3-mariposa-study-shows-rybrevantrvamivantamab-plus-lazertinib-resulted-30-percent. Consulté en septembre 2025.

12 Moores SL, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.

13 Grugan KD, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. Mabs. 2017;9(1):114-126.

14 Yun J, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov. 2020;10(8):1194-1209.

15 European Medicines Agency. Amivantamab Summary of Product Characteristics. Juillet 2025. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/rybrevant-epar-product-information_en.pdf. Consulté en septembre 2025.

16 Leighl NB et al. Subcutaneous Versus Intravenous Amivantamab, Both in Combination With Lazertinib, in Refractory Epidermal Growth Factor Receptor–Mutated Non–Small Cell Lung Cancer: Primary Results From the Phase III PALOMA-3 Study. ASCO Journal of Clinical Oncology. 2024 ;42(3):3593-3605.

17 Innovativemedicine.jnj.com/EMEA. Johnson & Johnson submits application to the European Medicines Agency for additional subcutaneous RYBREVANT®▼(amivantamab) dosing regimens to treat patients with EGFR-mutated advanced non-small cell lung cancer. Disponible à l’adresse : https://innovativemedicine.jnj.com/emea/newsroom/johnson-johnson-submits-application-to-the-european-medicines-agency-for-additional-subcutaneous-rybrevant-amivantamab-dosing-regimens-to-treat-patients-with-egfr-mutated-advanced-non-small-cell-lung-cancer Consulté en septembre 2025.

18 Cho, BC, et al. Lazertinib versus gefitinib as first-line treatment in patients with EGFR-mutated advanced non-small-cell lung cancer: Results From LASER301. J Clin Oncol. 2023;41(26):4208-4217.

19 European Medicines Agency. Lazcluze. Juillet 2025. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/lazcluze. Consulté en septembre 2025.

20 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l’adresse : https://gco.iarc.who.int/media/globocan/factsheets/populations/908-europe-fact-sheet.pdf. Consulté en septembre 2025.

21 Zappa C, et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res. 2016;5(3):288–300.

22 Wee P & Wang Z. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways. Cancers. 2017;9(12):52.

23 Pennell NA, et al. A phase II trial of adjuvant erlotinib in patients with resected epidermal growth factor receptor-mutant non-small cell lung cancer. J Clin Oncol. 2019;37(2):97-104.

24 Burnett H, et al. Epidemiological and clinical burden of EGFR exon 20 insertion in advanced non-small cell lung cancer: a systematic literature review. Résumé présenté à l’occasion de: World Conference on Lung Cancer Annual Meeting (Singapore); 29 janvier 2021.

25 Zhang YL, et al. The prevalence of EGFR mutation in patients with non-small cell lung cancer: a systematic review and meta-analysis. Oncotarget. 2016;7(48):78985- 78993.

26 Midha A, et al. EGFR mutation incidence in non-small-cell lung cancer of adenocarcinoma histology: a systematic review and global map by ethnicity. Am J Cancer Res. 2015;5(9):2892-2911.

27 American Lung Association. EGFR and Lung Cancer. Disponible à l’adresse : https://www.lung.org/lung-health-diseases/lung-disease-lookup/lung-cancer/symptomsdiagnosis/biomarker-testing/egfr. Consulté en septembre 2025.

28 Lin JJ, et al. Five-Year Survival in EGFR-Mutant Metastatic Lung Adenocarcinoma Treated with EGFR-TKIs. J Thorac Oncol. 2016;11(4):556-65.

29 Nieva J, et al. A real-world (rw) observational study of long-term survival (LTS) and treatment patterns after first-line (1L) osimertinib in patients (pts) with epidermal growth factor receptor (EGFR) mutation-positive (m) advanced non-small cell lung cancer (NSCLC). Ann Oncol. 2023;34, S774.

30 Girard N, et al. Mortality among EGFR-mutated advanced NSCLC patients after frontline osimertinib treatment: A real-world, US attrition analysis. J Thorac Oncol. 2023;18(4), S51-52.

CP-539990
Septembre 2025

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