DMLA HUMIDE : Et si un patient sur 3 pouvait arrêter les anti-VEGF ?

Cette étude de chercheurs de l’Université Johns Hopkins (Baltimore) apporte une vraie révélation dans le traitement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge et pour sa forme humide la plus agressive : jusqu'à 30 % des patients atteints de DMLA humide pourraient, en fait, arrêter les injections oculaires en toute sécurité au bout de la première année. Ces travaux publiés dans le Journal of Clinical Investigation expliquent pour quelles raisons bien sûr, et dans le même temps laissent espérer le développement proche d’un test simple qui pourrait un jour identifier les patients pouvant arrêter la thérapie en toute sécurité.
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