PARKINSON : La piste de l’hypoxie en comprimés
Respirer de l'air pauvre en oxygène ralentit la progression de la maladie de Parkinson : cette équipe de neuroscientifiques du Broad Institute du MIT et de Harvard (Cambridge, Massachussetts) en fait ici la démonstration chez la souris et dans la revue Nature Neuroscience : alors qu’un air appauvri en oxygène prévient, voire inverse, les symptômes de la maladie chez ce modèle animal, les chercheurs imaginent
« de l’hypoxie en pilule ».
Pour continuer à lire cette actualité, vous devez être membre Premium.
Je souhaite devenir membre PREMIUM
Accèdez sans limite aux 15 000 actualités du site et recevez gratuitement chaque semaine, la Newsletter Santé log avec les actus Santé à ne pas manquer !
Je suis déjà
membre PREMIUM
Devenez membre PREMIUM
Accèdez sans limite aux 15 000 actualités du site
et recevez gratuitement chaque semaine,
la Newsletter Santé log avec les actus Santé à ne pas manquer !

Je suis déjà membre PREMIUM
Autres actualités sur le même thème
BURN OUT : Un simple patch pour le détecter
Actualité publiée il y a 4 années 9 moisMALADIE de HUNTINGTON : Réparer la glie plutôt que les neurones
Actualité publiée il y a 3 années 2 moisCRISE CARDIAQUE : Supprimer la rumination fait partie de la récupération
Actualité publiée il y a 2 années 7 moisPERTE d’AUDITION, de VISION : Le déclin des sens mène au déclin cognitif
Actualité publiée il y a 1 année 2 mois
ABONNEMENT PREMIUM
Accédez sans limite à plus de 15 000 actualités



